Le nombre de cas reste peu élevé à ce jour. Toutefois, le dernier cas a été recensé dans une autre commune que les cas précédents. Cette situation témoigne d’une circulation à bas bruit (discrète) du virus dans l’île, qui doit nous amener à la plus grande prudence.
En ce début d’été austral, avec des conditions météorologiques plus favorables à la prolifération des moustiques, il est important de lutter dès maintenant collectivement pour stopper la circulation du chikungunya. L’ARS encourage la population à se protéger des piqûres de moustiques (sprays, moustiquaires…), à supprimer tout ce qui peut contenir de l’eau dans les jardins et cours, et à consulter un médecin dès les premiers symptômes.